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 Matsuden Hikari, Née Uchiha

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Matsuden HikariMessages : 25
Date d'inscription : 02/10/2014

Fiche ninja
Rang - Niveau: C - 5
Expérience:
Matsuden Hikari, Née Uchiha Left_bar_bleue0/200Matsuden Hikari, Née Uchiha Empty_bar_bleue  (0/200)
Informations ninja:
Matsuden Hikari
Genin de Kumo
Matsuden Hikari, Née Uchiha EmptyVen 17 Oct - 17:12

Présentation   de    Hikari    Matsuden




Informations
▌Nom : Matsuden (Uchiha )
▌Prénom : Hikari
▌Surnom : Shiro no hana

▌Âge : 12 ans
▌Sexe : Féminin

▌Lieu de naissance : Konoha Gakure.
▌Village : Kumo Gakure.
▌Grade et niveau : Genin Levl 5.
Psychologie

Hikari chan ... Hummm comment vous la décrire sans trop rentrer dans les détails, en évitant surtout de la mettre mal alaise vis-à-vis de vous, chers lecteurs qui pourriez suite à cela lire en elle comme un livre ouvert ... ( Comment ?... c'est obligé ? bon ... )
Matsuden Hikrai, chose certaine avec notre genin c'est qu'elle fait de son mieux pour mal porter mal son nom, Hikari chan est une fille assez réservée, plutôt introvertie, elle aime bien vivre en marge de la société. Personne ne la réclame et elle ne réclame personne, emmitouflée derrière son écharpe notre amie aux cheveux noir de jais se cache pour ainsi dire de la face du monde ; tachant même de se faire oublier lorsqu'il y à un attroupement quel qu'il soit. Vous l'aurez compris, cette jeune fille est du genre à tout faire pour se fondre dans la masse, mais... c'est plus facile à dire qu'à faire. La réalité derrière cette tentative de fuite en avant de ses congénères n'est pas due à une quelconque agoraphobie, mais plutôt à la peur d'une douleur qu'elle ne saurait surmonter : Celle de perdre un ami ou être cher auquel elle se serait trop attachée. Sa famille et plus particulièrement sa sœur sont tout ce dont elle à besoin... c'est du moins ce dont elle veut se convaincre, mais le cœur lui ne saurait mentir, puisque ce sera toujours avec envie qu'elle regardera jouer les autres enfants.
 
Lente à la colère et d'un naturel beaucoup plus calme que celui de Mariko, la personnalité effacée d'Hikari lui permet généralement de vivre sous les radars des perturbateurs. Les Enfants pouvant se montrer parfois cruels les uns en vers les autres, notre Uchiha en vient souvent à apprécier son image de " fille discrète ".
Seulement, malgré tout ses efforts pour passer inaperçue, son labeur lui donne l'exact opposé de ses espérances. Son joli minois attire à elle les gens et la timidité qu'elle affiche, ne sachant pas trop comment gérer les relations humaines les font cracker pour sa cause. Ne dit on pas que les choses les plus belles sont en réalité les plus éloignées ? Tenter de s'éloigner des autres en cachant en partie son visage lui a rapidement donné une réputation et un surnom " Shiro no hana " ou la fleur blanche de l'académie, contrastant fortement avec la couleur ténébreuse de ses yeux ébène, mais en parfaite adéquation avec celle de son âme ; du moins d'après leurs dires.
 
Hormis sa timidité en vers autrui, l'ainée des Matsuden est connue pour ne pas se mettre en colère, mais il n'en est en réalité rien ; comme toute personne, elle à un seuil de tolérance à certaines choses, il est toute fois vraie qu'elle est lente à la colère, voir très lente. Mais est-ce vraiment une qualité ? Hikari n'oublie jamais un mal qui lui a été fait, à elle, mais aussi et surtout à sa sœur ; elle assiste toujours de loin aux différentes brimades qui pourraient être faites à Mariko et intervient avec un visage tristounet pour la défendre, mais la vérité derrière cette attitude réside en le fait que derrière ce masque moe se cache une sadique, se révélant sous son vrai jour lorsque sont outrepassées ses limites.
Plus elle accumule des ressentiments en vers une personne, plus s'approche le "jugement" de cette dernière, fort nombreuse seront les sanctions qu'elle infligera à l'objet de sa haine, s'assurant de lui rendre au centuple ce qu'il aurait fait vivre à sa sœur, elle ou une personne à qui elle vouerait une certaine affection. C'est dans l'ombre qu'elle agira calculant minutieusement ses coups pour frapper là ou ça mal, sans pour autant dévoiler son identité. Martyrisant la victime jusqu'à ce qu'elle estime que celle-ci a compris la leçon, son entêtement à cette tache devient presque de l'acharnement. Chaque nouvelle crise la pousse à aller plus loin pour mieux faire passer son message, mais par la même occasion, c'est avec plus de plaisir qu'elle les fera souffrir. Étant le juge, le juré et le bourreau, ses petits " jeux " peuvent durer ... longtemps, très longtemps.
 
Plutôt mature pour une enfant de son âge, Hikari a en restant loin de ses confrères, acquis un hobby, la lecture. Dévorer les livres les uns après les autres devint rapidement une véritable passion, les livres étaient ses amis, lui permettant d'expérimenter de nouveaux horizons, de s'évader loin de ce monde ou du lieu précis ou elle se trouvait pour lire la biographie d'un célèbre ninja ayant participé à la seconde Grande Guerre et l'Uchiha le leur rendait bien au vu de l'attention particulière qu'elle leur portait.
En demandant encore et toujours plus, ce sont eux qui à force de devenir plus compliqué à lire, à comprendre ou même à supporter, ont fait d'elle ce qu'elle est maintenant. Une fillette de plusieurs crans au dessus des jeunes de son âge, du moins sur un point de vu purement psychologique. Il n'est donc pas surprenant qu'elle trouve enfantins les jeux des autres enfants, la confortant davantage dans son idée saugrenue de mener une vie solitaire.
 
Manipulatrice, Hikari utilisera tout ce dont elle sera capable pour obtenir l'objet de ses désirs. Contrairement à Mariko qui sans broncher vous "crachera" en face vos quatre vérités, Hikari chan s'est découvert et entretenu un gout plus ou moins prononcé pour la manipulation de la langue ( Japonaise on dira ) sachant soit flatter l'égo, ou  amener à comprendre via des moyens détourner, ce qu'elle voudrait faire savoir.
Encore jeune ( beaucoup trop jeune ) n'est point encore parut devant elle l'élu(e) de son cœur, aussi encore est-elle loin de connaitre les maux qui peuvent résulter de pareilles relations, surtout avec les shinobis, pouvant décéder à tout moment lors d'une mission quelconque. Mais nous pouvons dores et déjà dire que s'emparer de son cœur pourrait rapidement virer au cauchemar, puisque possessive, Hikari chan est naturellement jalouse. Il serait donc conseillé d'éviter de lui briser le coeur, au risque que vous ne vous brisiez sous les coups d'une rage incontrôlée...Par ailleurs, aillant dans sa liste de bouqin préférés un bon paquet de livres à caractaire ...érotique ( vous voulez pas savoir comment elle les a eu )cette fille est unpeu ( très ) perverse sur les bords.
 


Histoire


Uchiha no ichizoku, le clan dit maudit du village de la feuille, c'est au sein de cette grande et noble famille que nait l'histoire d'Hikari chan. Mariko et sa narratrice on certainement déjà dût vous donner une version des faits, mais ne dit on pas que la répétition est pédagogique ?
Deux cycles solaires avant la naissance de l'actuel réceptacle de Kyuubi, se rencontrèrent deux Uchiha, Hariu et Hitomi, encore des ninjas en formation à cette époque, leur jeune âge n'empêcha pas leurs sentiments de s'entremêler ; naquit entre eux une profonde amitié, ne cessant de grandir au gré du temps. La troisième Grande Guerre des ninjas faisait rage depuis Degas six longues années, celle-ci commençait à devenir longue... très longue.  Les pertes humaines engendrées par celle-ci ne cessaient de croitre, chaque soir ou presque, notre nouveau duo entendait s'effondrer une femme, un homme, ou un enfant. À chaque nouvelle lune, ils craignaient d'entendre encore des hurlements de tristesse, de voir des larmes de sang ou des gens perdre tout bonnement la raison vis-à-vis de la perte d'un être cher ou des horreurs perpétrées sur les lignes de front ... Cette peine les environnant, cette rage autour d'eux se nourrissait du désespoir de ces hommes et de leurs ressentiments, prenant de plus en plus d'ampleur en vers les Shinobis des pays ennemis. Hariu et Hitomi confrontèrent pour toute parade à cette folie leur amitié devenue amour. Compter l'un sur l'autre, combattre côte à côte et rentrer tous deux les soirs avait rendu le lien qui les unissait ci solide qu'il était presque palpable.
 
Au milieu de ce capharnaüm, à leurs yeux, comme aux yeux de tout un chacun se forgea petit à petit une légende. L'éclair jaune de Konoha, ses faits d'armes n'étaient plus à conter, sa réputation en tant que ninja accompli le précédait sur le champ de bataille, à tel enseigne que même dans le camp des ennemis, son surnom était devenu synonyme de shinigami. Indéniablement, comme tout Konoha gakure, notre jeune couple l'admirait et lui vouaient un profond respect. Un homme bon et généreux en temps normal, mais une véritable machine de guerre lorsque l'on s'en prenait aux membres de son unité, non, de son village était petit à petit devenu une véritable icone.
L'avènement de ce dernier fut probablement l'une des raisons de la fin de cette guerre, la destruction du pont Kannabi par son équipe et lui fut sans nul doute l'une des victoires qui eurent le plus d'impact lors de ce bain de sang. Cependant, ce fulgurant succès ne se fit point sans perte, leur équipe avait perdu un de ses membre au court de l'opération, un Uchiha qui plus est, notre duo se permit de faire en secret, leur deuil avec l'icône qu'ils affectionnaient tant. Peu après, ayant brillé lors de cette guerre sanglante, Namikaze Minato fut nommé pour leur plus grand bonheur, Yondaime Hokage.
 
Le village connu une brève accalmie, période de paix durant laquelle ils purent savourer de nouveau les plaisirs de la vie, sans avoir peur de la perdre du jour au lendemain. Une seule année, voilà ce que leur accorda le destin avant que celui-ci ne s'acharne de nouveau sur les ninjas du village caché de la feuille. Kyuubi, le démon renard s'était libéré de sa prison de chaire et s'attaquait au village qui avait réussi à le faire prisonnier. D'une présence écrasante, son chakra malsain parcourrait la ville, plongeant dans l'effroi les habitants du village, ses hurlements sinistres pétrifiaient de terreur les plus faibles et le simple fait de le voir se déchainé au loin suffisait à certain pour tomber dans les pommes. C'est au milieu de ce chaos que nos jeunes chunnin, se lançaient à l'assaut du monstre ; rapidement, coupés dans leur élan par le père d'Hitomi, l'homme leur fit comprendre qu'ils représentaient l'avenir du village de konoha. Les vieilles feuilles allaient inexorablement faner et tomber, mais après leur départ, devaient leur succéder des feuilles luxuriantes qui maintiendraient ce gigantesque arbre qu'est konoha no kuni, Cet arbre devait rester droit et fort, beau et resplendissant ; En ce sens, il ne voulait en aucun cas qu'ils risquent leur vie en un affrontement aussi inégal.
L'incident prit fin avant le lendemain matin, en l'espace d'une nuit, la bête fut domptée et de nouveau scellée, seulement, cette victoire déplorant un nombre minimal de victimes avait eu pour ultime cout... la vie de l'un des plus grands Hokage que n'est connu ce village. Le sourire aux lèvres, Minato et sa femme s'en étaient allés, confiant le démon renard à leur nouveau-né, Uzumaki Naruto. Hariu, Hitomi et konoha tout entier monta un nouveau deuil pour ce départ trop hâtif, à cette perte naquis rapidement de la haine en vers la créature qui leur avaient arraché leur héros, créature qui paradoxalement se trouvaient en le fils de ce dernier, à jamais marqué du sceau du pariât. Aussi bien consterné qu'indécis vis à vis de cette réaction du village en vers ce bébé, le coule d'Uchiha ne savait trop comment réagir ; ils se demandaient surtout si toute chose en ce monde n'était que douleur et souffrance... ?
 
Continuant inlassablement sa course folle, le temps s'écoulait, étouffant dans son étreinte une part des meurtrissures passées et portant nos jeunes chunnin à maturité. Leur couple n'avait fait que se renforcer et leur lien au fil des années étaient devenu indestructible, un amour véritable liait ces deux êtres, amour qui tissa les liens de leur mariage. Excellents ninjas, tous deux passèrent junnin de Konoha. Seulement cette nouvelle gradation venait avec son lot de responsabilité ; bonnes, comme mauvaises. En effet, maintenant jugés comme des adultes aptes à comprendre où devaient se placer leur " loyauté " ils furent mis au courent des noirs desseins qu'envisageaient les têtes pensantes du clan ; un coup d'État pour renverser le  Sandaime Hokage ...
Notre couple accueillit plutôt mal cette idée, bien qu'ils n'en firent point part à leurs confrères. Fidèles à l'administration de konoha depuis l'avènement de Minato, mais loyaux en vers le clan, ceux-ci ne savaient trop que faire par rapport à cette situation. Mais plus le temps passait, plus ces anciens soldats de la troisième Grande Guerre voyaient en ce coup d'État une confrontation inutile, au sein de leur propre pays.
 
Quelque temps après, Hitomi finit par porter le fruit de leur amour, des jumeaux, qui après leur avoir causés maintes inquiétudes naquirent au bout de plusieurs heures de lamentations. La première qu'ils nommèrent plus tard Hikari vint sans causer trop de problèmes. La seconde, Mariko qui en naissant s'étranglait avec son cordon ombilical faillit marquer ce jour d'une pierre noire ; Faillit seulement, pour le plus grand bonheur de nos nouveaux parents qui avaient gardé espoir. Luttant pour son existence, la petite Mariko se battait contre la vie, mais aussi contre son corps fragile, avec une certaine détermination, le nouveau née s'accrochait fermement à la vie que sa mère lui avait donnée. Mieux ! Plus s'égrainaient les années, plus la jeune uchiha reprenait du poil de la bête.
Fort de son titre de père, contemplant ses deux filles un soir d'été, Hariu ne pouvait qu'approuver la décision qu'il avait prise de se tenir en dehors de ce que prévoyait le clan Uchiha. Redoublant d'efforts pour décharger un peu sa femme et les aider à vivre selon le même train, le père de famille se tuait au travail pour le bonheur de sa famille. Allant même jusqu'à sacrifier le temps qu'il aurait pus passer avec ses enfants pour qu'ils ne manquent de rien. Il n'était pas souvent à la maison, ne les voyais donc pas réellement grandir, mais il passait chaque seconde qu'il pouvait leur consacrer à les dorloter et remercier les dieux de lui avoir offert de ci beaux présents. Malgré la turbulence de Mariko et les pleurs incessants d'Hikari (du moins jusqu'à ce qu'elle marche à douze mois ) Hariu et sa femme Hitomi vivaient comblés de bonheur.
 
Les années passèrent, nos deux bouts de choux grandirent rapidement et déjà se dessinaient leur personnalité. Fidèle à elle-même Mariko était un véritable ouragan, courant et sautant partout escaladant et grimpant sur tout ce qui lui faisait obstacle riant aux éclats s'amusant comme une véritable folle. Une fillette pleine de joie en somme, chez Hkari, s'était plus ou moins l'inverse, beaucoup plus timide elle préférait observer sa sœur de loin, épiant ses faits et geste la voyant déborder de joie et enviant même cette soerette, enchaînée par sa peur du monde extérieur. Quand Mariko partait à l'exploration, Hikari elle restait dans son coin à jouer avec ses blocs de construction. Lorsque sa sœur cadette partait en escalade, Hikari du haut de ses trois ans essayait de résoudre divers puzzles, allant des plus infantiles à ceux destinés à des cibles plus âgées d'un an, deux, voire plus.
C'est cette remarque qui poussa les parents à s'inquiéter pour elle, mais en même temps cherchait à découvrir jusqu'où évoluerait cet enfant qu'ils avaient qualifié de petit génie. Ils partirent jusqu'à prendre rendez-vous avec des spécialistes qui leur indiquèrent comment nos parents en herbes allaient devoir gérer celle-ci ; au final, cela se résumait à beaucoup d'exercices de mémoire et de logique camouflés en jeux.
 
Hormis leurs petites découvertes en famille, Hariu qui avait petit à petit éloigné sa famille du clan Uchiha était en proie à un malaise. Un malaise constant se faisant plus grandissant, ce genre de sentiment que l'on ne pouvait comprendre qu'en mettant sa vie en danger, ce genre de sixième sens naissant de nos craintes et nos peurs lorsque nous nous savons sur le fil de la lame. Nous parlons ici d'un pressentiment de danger imminent, un simple pressentiment, mais sa femme comme lui depuis qu'ils étaient revenus de ce massacre qu'était la guerre passée s'étaient jurés de faire confiance à leurs instincts. Chose qui leur sauva la vie plus d'une fois et celle-ci ne serait probablement pas une exception ; Hariu savait qu'approchait le jour de cette folle idée de coup d'État et était sure et certain qu'après cela, si survivant il y avait parmi les Uchiha ces pauvres gens seraient traités comme de véritables monstres pour avoir fait coller le sang de leurs compatriotes au sein même de leur village. Ses filles, sa femme ... il ne pouvait se permettre de leur infliger cela. Il était hors de question que ses progénitures vives avec le même genre de discrimination que subissait Uzumaki Naruto. L'heure était venue de lever le camp...
C'est à ce moment précis qu'il put remettre sur le tapis ses nombreuses missions accomplies pour le village, ces longues années sans jamais prendre de vacances, profitant seulement du quelques jours de semi-repos qu'on lui offrait entre chaque mission. Des états de service impeccables qui lui servirent d'appuis pour demander des congés pour sa famille et lui. Il prétexta vouloir éloigner ses filles de la ville, leur faire connaitre la campagne, voir la mer et bien d'autres choses encore ; quelques mystères de la vie... Sa requête eut une réponse quasi immédiate.  S'était un repos amplement mérité ce repos... seulement, tel n'était pas le cas. Comment pouvaient-ils concevoir qu'un ninja aussi dévoué et allaise dans la société prévoyait simplement d'utiliser ce prétexte pour faire gagner un moi à sa famille avant que les Oi-nin ne partent à leur recherche ?
 
Le départ se passa sans encombre, quitter Konoha en promettant un retour prochain alors que derrière se sourire radieux se cachait des adieux, nos Uchiha en avaient le cœur déchiré. Ci bien qu'à quelques mètres du village ils se retournèrent pour y jeter un dernier coup d'œil, fixant le berceau de leur vie avec tristesse. Une petite mimine s'était alors posée sur la joue d'Hariu, baissant le regard pour y découvrir une Hikari inquiète, le jounnin sourit à son enfant, posa une bise sur son front avant de définitivement rompre les liens entre son clan, son village et sa loyauté envers ses principes. Les jeunes parents ne pouvaient se permette d'hypothéquer l'avenir de leurs enfants, pour pareilles futilités...
Après quatre à cinq jours d'errance, le petit groupe apprit la douloureuse nouvelle. Le clan avait été entièrement décimé, seul subsistait Itachi, l'auteur de ce massacre, et Sasuke son petit frère qu'il aurait épargné. Hitomi fondit en larmes, derrière eux, ils avaient laissé leurs propres parents, amis, frères, sœur et autre. Tout ce beau monde avait été simplement éradiqué, non pas par la main d'un nukenin mais par leur propre soif de puissance.
 
Très durs furent les jours qui suivirent, ravagés par la douleur de ces pertes, mais réconfortés par leurs filles, le couple tenu le coup, en se battant pour aller de l'avant. Après plusieurs jours, ils finirent par trouver asile au village caché des nuages. Se fixant des règles sévères pour pouvoir vivre en paix, tous deux abandonnèrent ce pour quoi ils avaient sacrifié toute leur jeunesse, leurs arts ninjas. Tous les fondements de leur existence s'effondraient, mais tel était le prix d'une nouvelle vie. Abandonnant le nom d'Uchiha, Hariu et Hitomi prirent le nom de Matsuden avec lequel ils ouvrirent un restaurant et repartaient de zéro, en tant qu'habitant de Kumo gakure no Sato.
 
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Narrateur : Bien, ma partie s'arrête ici, Hikari chan ... tu nous racontes ton histoire ?
Hikari : He... hein ? C'est déjà à moi ?
Narrateur : hum hum ...
Hikari : Mais vous savez que je ne m'en sors pas très bien avec les relations humaines...
Narrateur : Tu feras ça très bien j'en suis sure !
Hikari :Bon... si vous le dites... je... je vais faire mon mieux !
Narrateur : Courage !
 
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Trois années passèrent après que notre famille se soit installée à kumo gakure, présenté devant le raikage il y avait quelques années, Mariko et moi-même avions subi le test d'entrée à l'académie. D'après père, il s'agissait d'une évaluation du Raikage en personne, vis à vis de notre potentiel latent et de si oui ou non nous allions suivre une formation du shinobi au sein de sa nation. Sans surprise, du moins selon papa, nous passâmes avec brio cette épreuve.
Tōsan qui me racontait ce qui s'était passé ce jour là, m'expliqua à quel point okasan tremblait de nervosité, tous notre avenir devait se jouer selon l'impression d'un et un seul individu, mais le potentiel latent des Uchiha ne pouvait tout simplement pas nous faire passer pour des incapables et ce, auprès de quiconque capable de décerner le potentiel d'un tierce. C'est pour cette raison que lui n'avait rien éprouvé ressemblant de près ou de loin à de la peur, ce qu'il éprouvait à cet instant était plutôt de la fierté vis à vis de  ses filles. Je me lassais rarement de l'écouter parler de notre enfance avec tant de passion, car durant ces récits, il finissait toujours par poser sur nous un regard heureux et nostalgique, empli de fierté et de joie. Savoir que ma simple existence provoquait chez lui tant de bonheur était quelque chose qui me comblait et justement pour pouvoir ressentir encore et encore cette plénitude que je ressentais en ces moments-là, je me mis à travailler dur, très dur pur qu'il soit fier de moi...
 
 Dès l'âge de six ans, père s'était mis en tête de nous former, très vite, celui-ci prit gout à la chose et les séances d'entrainement et apprentissage de l'art du ninjutsu allèrent en se corsant. Nous n'arrêtions que lorsque la fatigue nous faisait mordre la poussière, et le faite que nous soyons des filles n'étaient pas un prétexte pour nous ménager. Dans sa jeunesse, il disait avoir croisé des femmes véritablement redoutables sur le terrain, contrairement à bon nombre de ses coéquipières qui tombèrent au combat. S'était un destin qu'il refusait pour nous, et Otosan comptais bien faire tout son possible pour que l'on ne suive pas ces kunoichi mal formées sur la rivière qui mène dans l'aude la.
L'année qui suivie, nous entrions Mariko et moi à l'académie, en tant qu'apprentis shinobis des nuages. Sans grandes surprises, après ce que nous avions et continuos de subir à la maison,  nos résultats étaient excellents. Toutes deux avions une belle avance sur les autres étudiants malgré le comportement quelque peu turbulente de Mariko. Turbulente ... non, je dirais plutôt distraite. L'observer tous les jours était devenu un de mes passe-temps favoris, s'ajoutant à la passion que j'avais progressivement développée pour les livres.
 
Éloignée des gens, préférant essayer de vivre en retrait de tout ce beau monde, il m'arrivait de les observer avec envie, mais elle était encore et toujours là, cette peur, cette boule au ventre qui m'enserrait ci fort qu'elle était parfois étouffante. La peur d'être rejetée, la peur d'être utilisée, ou tout simplement celle de souffrir d'un lien brisé. Tant de mes héros en avaient souffert au cours de leur périple que je dévorais pages par page, tant s'étaient renfermés sur eux même après avoir été abandonné par un être devenu cher à leurs yeux, une douleur ci bien décrite que je me sentais la vivre, je sentais mon cœur être lacéré s par ce sentiment que l'on éprouve en étant rejeté, mais ceci correspondait à des personnages de fiction. L'empathie que j'avais à leur égard me permettait presque de ressentir leur émotion au bout de chaque lettre, bonne, comme mauvaise. Si pour des personnages imaginaires je ressentais ceci, qu'allait-il m'arriver si je subissais pareille expérience dans la vraie vie ? Qui plus était, cette crainte n'était pas qu'une contrainte, non. Elle me permit de me plonger dans des mondes infinis, s'étendant encore et encore, commençant à chaque nouvelle reliure que j'effleurais en ces sanctuaires qu'étaient les bibliothèques. Livres d'aventures, de fictions, d'horreur, de réflexion, d'amour ( et un peu plus ), des bibliographies aux livres traitant de la nature, des ouvrages traitant de la guerre à ceux rédigés pour parfaire sa voie du shinobi, tout ceci était mon trésor.
Je trouvais toute fois le temps de garder un oeil sur Mariko, la voir rire et s'amuser, courir dans tous les sens et s'énerver. Un petit sourire naissait toujours sur mes lèvres en ce genre de situation, sourire qui pour une raison ou une autre attirait l'attention sur moi. ( Narrateur : excusez la, elle ne sait pas qu'elle est mimi quant elle sourit ) Ha bien des reprises suite à un sourire, je me suis retrouvée à être traitée comme une peluche et câlinée par les filles de la classe. Une situation agréable, mais dont j'avais tout de même peur, car petit à petit elles se rapprochaient de ma personne.
 
Notre quotidien se poursuivis de la sorte plusieurs mois durant, ponctués d'entrainements et de recherche en ce qui me concernait, Mariko quand à elle passait son temps hors entrainement à partir à l'aventure chasser X ou Y chose, cherchant à relever X ou Y défis. Mes goûts littéraires eux avaient changés, plus axé sur l'apprentissage de soit, les secrets derrière le ninjutsu et son énorme panel de déviations.... Les choses allèrent bon train, deux bonnes années durant jusqu'à ce qu'un soir un évènement aussi effrayant que surprenant vînt perturber notre quotidien. M'entrainant avec Mariko au taijusu, sous l'oeil bien avisé de père surveillant l'échange de coup, celle-ci parvint brusquement à faire basculer la vapeur, pariant un coup qu'elle n'aurait normalement pas dû voir venir. Voir ... là était justement le problème. Repoussée par la contre-attaque de cette dernière, j'observai avec stupeur ma sœur avant que cette stupeur ne devienne terreur. Ses yeux avaient pris une couleur écarlate. Dans tous mes états, j'accourus à son encontre avec père sur mes talons, alors que je m'affairais à lui demander qui se passait père restait silencieux, c'est en me retournant vers lui que je le vis partager entre joie et perplexité.
Plus tard, il nous révéla le fin mot de cette histoire, ce fut long, très long. En cette même soirée nous apprirent nos réelles origines, notre vrai nom de famille, pourquoi avions-nous quitté Konoha, mais aussi et surtout, pourquoi il était ci important de cacher ce dojutsu qui faisait de nous des êtres ci spéciaux. J'avais énormément de questions, mais savais n'avoir que peu de réponses. Toue fois, je sentis mon cœur bondir de joie, j'avais lu tant de choses à leur sujet, dans de lignes parlais des Uchiha, soit comme étant des monstres, soit en tant que héros, mais tous relatait d'un fait visiblement indéniable. Ils étaient ... non nous sommes des ninjas accomplis. Mariko en bonne bout en train avait réussi à éveiller les siens, il me fallait donc un peu plus d'effort. Moins physique que celle-ci, je compris rapidement que les tours et stratagèmes que j'utilisais lorsque nous nous battions au lieu de développer mon corps étaient la raison de mon retard quant à l'activation de ces pupilles rouge sang. Serrant les poings, je me jurai de les activer d'ici la fin de ladite semaine.
 
Après que j'eus sortit le mien de sa torpeur, père non sans beaucoup de fierté nous annonça que l'entrainement allait se corser encore un peu plus, la maitrise de nos pupilles et notre contrôle sur ces dernières allait être un entrainement complètement à part qui n'allait empiéter sur les autres que de façon minime. Il fut quand même un peu plus dur pour Mariko de faire la part des choses entre les séances avec père et son travail scolaire. Me concernant, un petit aménagement de mon emploi du temps suffit, mais allait empiéter encore un peu plus sur mes heures de sommeil, sur lesquelles j'avais récemment commencé à grignoter pour poursuivre mes entrainements jusqu'à des heures indues.
Ainsi repris notre quotidien, l'académie, les entrainements avec père et les bons petits plats que nous cuisinait mère, attendant patiemment notre retour, tous les jours. La vie reprit son cour, entre moi essayant de me faire oublier au fond de la classe et Mariko qui elle s'incrustait dans les mémoires des gens de par son comportement beaucoup plus farouche. Nombreuse étaient les situations hilarantes dans lesquelles celle-ci s'était fourrée, nombreuse donc étaient les fois où au lieu d'un simple sourire, un rire étouffé venant de ma part eu pour résulta de me transformer en la mascotte timide de la classe, mes bons résultats les avait tout u moins conforté dans cette optique. C'est finalement une fille, semblant me comprendre qui me vint en aide en m'offrant cette énorme écharpe rouge que je porte maintenant tous les jours, aussi bien pour le point auquel elle m'était pratique pour cacher mes réactions, que par reconnaissance envers celle-ci.
Alors que s'égrainaient les années, et que Mariko poussait toujours un plus loin le bouchon, allant même jusqu'à risquer sa vie le seul jour ou je la perdis de vue, moi je continuais de me concentrer sur mes études. Non plus pour faire plaisir à père, mais à force de passer mon temps à travailler et m'entrainer ceci devenait petit à petit une part de moi, plus qu'un passe-temps, s'était maintenant devenu une partie de moi. Curieuse, je voulais en savoir plus sur le chakra, les jutsus, les arts ninja qui m'apparaissait à chaque nouvelle recherche sous un angle plus complexe. Je voulais en savoir davantage, en connaitre et en comprendre plus encore, pour probablement être la fille qui réussira à créer des techniques mythiques. Un rêve plutôt puéril, mais qui importe pouvait en être l'aboutissement, cette soif de connaissance.
 
Puis... arriva celui qui me poussa à me connaitre ... Généralement lorsque Mariko créait du grabuge ou allait un peu trop loin, j'arrivais à tasser la situation en présentant des excuses à sa place pour ne pas que cela dégénère trop ou qu'elle perde une de ses connaissances pour une querelle quelconque. Seulement, il y existait toujours des exceptions aux mécanismes bien roulés. Cela remonte actuellement à quelque mois, nous eûmes dans la classe un nouvel arrivant, de prime abord un élève transféré. Il s'avéra bien vite être la pire gangrène qui soit, un élève perturbateur se plaisant à faire pleurer et crier les filles et maltraiter les garçons qui ne le rejoignais pas.
Puis vint inévitablement le jour ou il décida d'ajouter à sa liste de victime Mariko, bien entendue elle ne se tue pas devant tant d'injustice. J'avais eu du mal à la garder en dehors de tout ça lorsqu'il s'en prenait aux autres, mais maintenant que s'était elle-même la victime, elle répliqua sans réfléchir l'espace d'une seconde. J'essayai de les séparer, mais me prit un coup dans leur pugilat. La situation continua trois jours durant, trois jours de rétention et tentatives de communication,  seulement voila ... j'avais oublié au travers de mes livres à quel point l'homme pouvait se montrer méchant et cruel par simple plaisir, nous étions décidément les pires créatures de cette planète, il y en a des bons et des moins bons ... pour lui faire comprendre comment allait fonctionner les choses, je me décidai prendre les devants.
 
Ses parents n'étaient à la base pas des shinobi, mais les ressortissants d'une caravane marchande qui aurait été attaquer, la première nuit mon cœur battait la chamade, mais petit à petit, épiant leur maison et cherchant la moindre information utilisable ; jusqu'à ce que celles-ci viennent à moi. J'entrai en action quelque jours plus tard, diffusant dans l'établissement des rumeurs à son encontre via des bouts de papiers, révélant ses secrètes les plus sombres et profondes, le transformant en la risée de l'établissement.
Continuant d'attaquer une créature blessée, c'est avec du verre brisé que je poursuivis mes attaques. Des tessons de verre dans mes chaussures, me plaignant au prof avec un air de victime, désignant clairement l'individu qui avaient encore du mal à se remettre des plaisanteries douteuses faites avec ses " secrets ", en plus des semaines de colle dont il écopa je continuai de créer quelque incidents que je m'arranger à empiler sur son dos jusqu'à ce qu'il fonde en larmes devant les conseillés exaspérés par la fréquence de SES bêtises. Détruire son image, sa confiance en soit et son image de lui même n'avait pas été ci compliqué, mais il fallait qu'il sache pourquoi il subissait tout ceci, pourquoi je transformais sa vie estudiantine en enfer, aussi je lui laissai un mot, pour lui donner rendez-vous avec son tortionnaire. Bien qu'assise en train de lire sur mon banc au lieu de rendez-vous, le jeune homme se pointa avec un kunai à la main, cherchant où pouvait bien être l'auteur de tout ceci jusqu'à ce que je lui fasse comprendre que je n'étais pas assise ici par hasard, mais que j'étais bel et bien derrière tout ça. Mon écharpe remontée jusque sou mon nez, je pouvais jubiler de contentement caché derrière cette dernière, voir l'expression de son visage passer de la surprise la plus totale à une colère noire, j'activai la technique que j'avais pris tant de temps à performer pour cette simple occasion.
 
Kanashibari no jutsu ! Un genjutsu sensiblement efficace qui là encore ne manqua pas de faire ses preuves. Imprimant dans le crâne de la victime une vision horrible de sa mort, le jeune transféré se retrouva sur les fesses, tremblant de tous son corps, la tache sombre que je vis petit à petit prendre de l'ampleur sur son pantalon, montrait que sa vessie n'avais pas sue restée fermée, encore une fois...  s'était normal après tout, il devait avoir vu sa peau être réduite en charpie, ses membres est littéralement broyés sous la pression de forces mystérieuse, ses intestins être éjectés de son abdomen, propulsés à l'extérieur par une explosion de la paroi abdominale, en leu sein, des asticots, grouillant et grignotant celui-ci de l'intérieur, mouche et cafard venant se délecter des ses fluides corporels rependus un peu partout au milieu de lui. Dans sa vision d'un mort horrible, il avait certainement vu sa peau fondre, emportée non pas par de l'acide, mais la putréfaction elle-même, créant des furoncles de la taille d'un poing. Furoncles qui en explosant laissaient une forte odeur de putréfaction et générais des douleurs aigües l'illusion telle que je l'avais créée s'achevaient par ses yeux et son cerveau, dévorés par souris et centipèdes.
 
Quelque secondes après avoir atteint le sol, il rendait le contenu de ses tripes sur le sol, un rire sournois que je le laissai expressément entendre, je baissai mon écharpe à mon cou pour qu'il puisse découvrir le sourire de psychopathe  qui me balafrait d'une oreille à l'autre. Plus jamais ... j'ai dit bien plus jamais ! Tu ne t'avises de t'en prendre à Mariko chan ... sinon ce que tu viens de voir, risque bien de devenir réalité. Et je prendrais un malin plaisir à le faire ... lentement. secouée d'un rictus amusé je laissai notre victime, baigner dans ses fluides accompagnés d'une odeur nauséabonde. Cette fille sadique j'étais venait de s'éveiller, tentant de la remettre en sommeil après cet incident qui me fit jubiler de contentement des jours durant, je pris la résolution de la garder un maximum silencieuse et surtout cachée de tous, même de Mariko. 
Dans les semaines qui suivirent, nous obtenions toutes deux nos diplômes, le sourire de Mariko quant à l'obtention de ce dernier c’était littéralement gravé dans ma mémoire, mignonne comme une gamine devant sa première poupée, je ne pus que sourire devant tant de bonheur. Père et mère avait spécialement fermés le restaurant pour nous assister le jour de la remise de nos diplômes. Les pleures de joie de Kasan et le sourire heureux d'Otosan étaient pour moi, des récompenses bien plus chères à mes yeux que ce document.
 
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Narrateur : Et depuis lors tu attends avec Mariko chan ton affectation dans une équipe !
Hikari : Ha vous êtes encore là Narrateur san ... ? Heu oui, c'es le cas, il ne nous reste plus que nos affectations.
Narrateur : bonne fille... ( lui caresse la tête ) Hé bien, voila donc l'Histoire d'Hikari chan, en espérant que celle-ci vous ait plu  =3.
 
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You
▌Pseudo ou Prénom : Jec / Jeckurosaki.
▌Comment avez-vous connu SnE ? *pointe du doigt sa petite sœur Mariko*
▌Comment trouvez-vous SnE ? Encore certaines choses à décrire et éclaircir, mais j'estime que c'est un bon forum avec un system bien pensé ^^. Puisse t-il vivre longtemps T-T qu'il ait une vie aussi longue et fructueuse que celle de shinobi no Hattan. (trop vieux ce forum >< )
▌Quels sont vos projets ? Engranger beaucoup de connaissances, apprendre comment fonctionne certaine chose et découvrir les mystères de cette vie, mais aussi et surtout, protéger Mariko chan.
▌Quels sont vos disponibilités ? étant travailleur et sur d'autre forum, je suis un peu chargé donc je dirais entre 4 et 5 / 7 mais je ferais tout mon possible pour donner une réponse chaque un à deux jours.
▌Y a-t-il un mot de passe dans le règlement ? Hummm... ceci est une bonne question =D




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Kami no KamiMessages : 9
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Kami no Kami
Matsuden Hikari, Née Uchiha EmptyVen 17 Oct - 19:14
Alors déjà je te dis bravo pour cette présentation. Cela a été un régal à lire et tu as su apporter une vision différente à l'histoire des jumelles Uchiha tout en approfondissant certains points particuliers. J'ai repéré malgré tout quelques fautes d'orthographes et de grammaire, mais ton style reste fluide et agréable à lire. Tu as su nous présenter un personnage à l'opposé de Mariko sans tomber dans ce que j’appellerais l'archétype Sasuke et cela est vraiment agréable. Je m'impatiente de voir ce que va donner cette petite konoichi dans l'avenir.

Je te valide genin de Kumo de niveau 5. Tu démarres donc le jeu avec 750 +250 = 1000 ryos et tu as deux jets de dés bonus pour la qualité de ta fiche. Tu vas pouvoir aller faire ta FT.


Dernière édition par Kami no Kami le Ven 17 Oct - 19:17, édité 1 fois
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Maître du jeuMessages : 415
Date d'inscription : 30/08/2014

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Matsuden Hikari, Née Uchiha EmptyVen 17 Oct - 19:14
Le membre 'Kami no Kami' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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Matsuden Hikari, Née Uchiha

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